Back

Amour & Neurosciences 2

A quelques jours de la Saint-Valentin et du printemps, préparer son coeur, à rencontrer le meilleur, n’a jamais autant fait sens. Dans l’épisode précédent, je vous confiais être en phase d’introspection pour me préparer à aimer de nouveau grâce à la Méthode Neuro-Coeur, développée par la célèbre MatchMaker, Valérie Bruat et son équipe d’experts en neurosciences. 4 mois après, quel est le bilan amoureux ?

Par Estelle GUEÏ

 

Selon Spinoza « L’amour est de la joie et de la puissance » et non de la « douleur » comme le décrivait Platon !


Partie 2/3

1. Le déni : comment notre cerveau est conditionné dès la prime enfance

Exit les films de Noel à l’eau de rose, le mythe du grand amour ou histoires de princesses aux preux chevaliers…Dans la vraie vie, les productions Disney, où nombre de fausses idées sont véhiculées dès notre enfance, ont laissé place à une réalité plus contrastée. Comment créer son propre chemin de vie et ne pas céder à la pression sociale ou aux pensées limitantes, quand on est hypersensible, neuro-atypique et « sous-douée » dans les relations amoureuses ? 

 

Le mythe du grand amour véhiculé par la propagande Disney est pris au sérieux par les hypersensibles dés leur enfance

 

« Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Déjà, c’est le premier mensonge que nous inflige la société dès notre plus jeune âge, comme le rappelle l’experte en neurosciences, Claire STRIDE. En grandissant notre cerveau engrange nombre de pensées limitantes proférées, sans le faire exprès, par nos parents, instituteurs, professeurs, camarades, ensuite employeurs. Des pensées limitantes ou fausses croyances, qui nous modèlent soit en un adulte conscient et affranchi des idées parasitaires, ou à l’inverse, un être introverti, persuadé que toutes ces barrières psychologiques proférées sont la réalité. Ce processus est humain. Cela s’appelle être en cerveau automatique. Le cerveau est une formidable machine, seulement lorsque celui-ci n’est pas stimulé,  il peut reproduire à l’infini des automatismes, mauvaises habitudes ou interprétations pouvant nous faire dévier. Dans cet agglomérat de clichés, désinformations, fausses croyances, il est difficile de prendre conscience de qui nous sommes et de ce que nous voulons vraiment.

 

De nombreux films à l’eau de rose véhiculent de fausses croyances

 

Car là se trouve la clef du bonheur. La connaissance de soi. De nos potentialités, atouts, faiblesses et désirs. La cartographie de notre individualité nous guide vers notre destinée en sérénité, car nous évoluons, progressons en confiance. Chacun à son rythme. Sans pression sociale ou pensées limitantes.

 

Alors comment rencontrer l’âme sœur dans cette foule sentimentale où les cœurs se croisent et se décroisent pour un oui ou pour un non ? 

 

 

Car le mal de notre siècle s’appelle la lassitude.

Tout va tellement vite, nous sommes imbriqués dans un maelström d’instantanéité, de superficialité et d’ennui chronique. Nos corps impatients, exigent un bonheur immédiat. Quitte à passer à côté d’une belle histoire d’amour, faute de patience et de valeurs profondes. Nous avons perdu le sens de l’humain, comme nous l’a rappelé la triste mort de ce photographe, décédé des suites d’un malaise en sortant du restaurant, dans la plus totale indifférence, sur le pavé froid de Paris…C’est seulement 9h après être tombé sur le sol, le corps frigorifié, qu’un SDF donnera l’alerte au petit matin….Trop tard.

 

@Jean-Louis DUZERT/MAXPPP
Le photographe René Robert

 

Dans une société aussi déshumanisée, auto-centrée, où seuls le profit, les résultats, le nombre de followers, les relations utiles, le matériel et l’apparence comptent, difficiles pour les personnes authentiques et hypersensibles, de trouver le ou la partenaire qui saura les comprendre, rassurer, apaiser et redonner foi en la nature humaine…

Voilà dans quel état d’esprit je me trouvais avant de confier mon destin amoureux à la MatchMaker, Valérie Bruat, et à son équipe d’experts en neurosciences.

 

2. Le neuro-training : préparer son cerveau adaptatif à attirer le meilleur !

Quatre mois plus tard, quelle est la suite du « neuro-training » ? L’introspection a été une étape nécessaire. Elle s’est révélée physiquement douloureuse, mais salvatrice. Un profond changement de paradigme a opéré. A l’instar d’une séance de sport trop intense, mon corps se sentit au fur et à mesure des échanges intellectuellement musclés avec Claire, comme vidé. Épuisé, après toutes ces années d’errances affectives, de déboires amoureux, de colères, ressentis et d’échecs mal-encaissés. Claire comprenait et analysait enfin mon vécu amoureux sans me juger. Ouvrant de puissants axes de réflexions, où j’étais obligée, pour la première fois, de regarder la vérité en face et faire en sorte que les choses changent pour évoluer.

 

Je me prête à l’expérience de la Méthode Neuro-Coeur pour apprendre à reprogrammer mon cerveau amoureux !

 

Mon corps fut mit alors à rudes épreuves, sous l’effet de mon mental, où nombre de traumatismes étaient enfuis. Ce qui m’envoya 2 fois à l’hôpital en 72h  ! Ce n’était pas à cause du Covid, mais un mal bien plus insidieux, angoissant et prégnant : la prise de conscience, que pour vivre quelque chose de beau et fort je devais changer ma façon d’être et de faire ! Je vivais une sorte de « loi de l’attraction » (croyance consistant à se concentrer sur des pensées positives ou des pensées négatives pour changer sa vie) en live.

 

 

A ce moment-là je pense à la phrase de Gaston, ami de l’un de mes anciens compagnons, qui devant mes craintes de me lancer dans une nouvelle relation, m’avait dit 13 ans auparavant : « Il n’y a pas de changement sans douleur. Il n’y a pas de changement sans crispation. Pas de changement sans regrets, Estelle ! »

Déjà la notion de cerveau adaptatif émergeait…Seulement, même si le concept était audacieux, celui-ci n’était pas adapté à l’individu, charmant, mais à la personnalité beaucoup trop instable pour moi, ce qui fut la cause de notre rupture quelques années plus tard…

Au fils des échanges avec la thérapeute surdouée, Claire STRIDE, formée en approche neurocognitive et comportementale pour aider à la prise de décision des dirigeants et personnes issues de la neurodiversité, un nouveau cheminement  intellectuel semblait émerger. Jusqu’alors bloquée sur l’âge de mon partenaire, que je voulais absolument plus âgé, de 10 ans minimum, je fus surprise d’émettre la possibilité de rencontrer un homme éventuellement plus jeune que moi, pas forcément parisien, et que je serais prête à quitter Paris pour vivre en province ou à l’étranger, si un projet commun et un feeling se concrétisaient…quelles nouvelles évolutions dans mon mindset (configuration de l’esprit) !

 

 

Ce changement de critères s’expliquait selon la thérapeute, par l’acquisition de plus de souplesse dans la visualisation de l’autre, moins de peurs et pensées limitantes concernant mon avenir amoureux. 

Grâce à la méthode Neuro-Coeur ma volonté de révéler ma meilleure version de moi même et mon potentiel amoureux se mettaient enfin en marche !

 

La Méthode Neuro-Coeur est un accompagnement au quotidien par des experts en neurosciences

3. Déjouer les pièges de la pensée limitante pour accueillir l’amour

Parfois l’amour revêt les traits d’une personne opposée à notre idéal, dicté par notre inconscient, schémas répétitifs, fantasmes ou par la pression sociale.

Le sentiment amoureux est souvent espiègle et se joue de nos croyances limitantes, pour nous faire sortir de notre zone de confort. Oser accueillir l’amour c’est s’éloigner de nos fantasmes, pour approcher le coeur d’une personne, parfois moins charismatique, mais qui saura nous aimer, nous protéger, nous comprendre, nous respecter, nous épauler, nous surprendre et nous offrir toute l’attention dont nous avons besoin et que nous méritons !

 

Impressionnée par les avancées réalisées grâce à l’accompagnement neuro-cognitif et comportemental de l’équipe Neuro-Coeur de Valérie BRUAT, je m’empresse de lui partager mes découvertes et lui annoncer que je suis enfin prête à « faire des rencontres » pour m’ouvrir à l’autre et amorcer une dynamique amoureuse ! J’ai l’impression d’être une nouvelle personne. D’avoir renoué avec mon moi profond, d’être enfin sereine, et de mieux me connaître.

Face à ces changements clairement visibles et constatés par mes proches, Valérie BRUAT me raconte avec émotion comment des rencontres improbables ont été possibles en brisant le mur des fausses croyances et pensées limitantes.

Alors qu’un homme cherchait depuis son divorce, une femme plus jeune et sans enfant, le destin lui fit rencontrer une femme plus âgée que lui, mère de 2 enfants. S’il n’avait pas été capable de s’ouvrir à l’inattendu, être disponible et souple sur ses critères, il serait passé à côté d’une belle histoire d’amour. Aujourd’hui, leur couple est plus solide que jamais !

Des anecdotes bouleversantes, Valérie, en a pléthore, comme cette femme qui souhaitait un homme plus âgé, plus assuré qu’elle financièrement et socialement. Du coup, elle déclina un rendez-vous avec un homme plus jeune et pleins de promesses, mais moins rassurant selon ses critères stéréotypés. Cette femme aurait pu être très heureuse avec ce jeune homme, mais elle ne le conçoit pas. Son cerveau est fixé sur sa première attente : un homme plus âgé et sécurisant. Avant d’être accompagnée par les experts de la Neuro-Coeur, elle ne savait pas encore qu’elle pouvait potentiellement se tromper en se refusant à l’inattendu…

Valérie me confie alors que « ces exemples de femmes et d’hommes obnubilés par leurs attentes premières, alors qu’ils ne savent pas exactement ce qu’ils veulent vraiment, sont très nombreux. Ils s’auto-persuadent et se bercent d’illusions, imaginant que leurs idéaux vont les rendre heureux, alors que les personnes qui nous attirent, ne sont pas toujours celles qui nous correspondent. Certaines peuvent se révéler toxiques avec le temps… »

En effet, dans son métier, Valérie est souvent confrontée à des personnalités réfractaires au changement, indécises ou prisonnières de leurs « cerveaux automatiques », reproduisant à l’infini des schémas amoureux catastrophiques (relations toxiques, pervers.es-narcissiques, drama girls, personnes vénales, syndrome du sauveur…).

 

Répéter inlassablement, de façon mécanique, les mêmes erreurs, rend triste, mais a aussi quelque chose de rassurant.

 

Car bien que bancale, la relation s’inscrit dans une zone de confort, où les protagonistes maîtrisent à la perfection les rouages de la toxicité de leur relation. Donc, pas besoin de se remettre en question, puisque leur cerveau est imprégné par ces habitudes destructrices et familières. Pourquoi cesser une dynamique amoureuse nocive alors qu’on a connu que ce modèle ? Généralement, la prise de conscience opère lorsqu’un événement grave se produit ou lorsqu’il est déjà trop tard.

Parfois on évoque les « cerveaux malades » ou «endommagés ». La métaphore qui correspondrait le mieux à certains profils, serait celle du « cerveau sclérosé », qui n’évolue plus et ne s’adapte pas à l’environnement. Consciente de mes forces et faiblesses, je sens que l’action de Valérie BRUAT est tout à fait légitime et pertinente : elle répare les âmes et les cœurs brisés !

 

La célèbre MatchMaker, Valérie Bruat, bienveillante et efficace !

 

4. Comment s’inscrire dans une dynamique amoureuse ?

Grâce aux conseil de Valérie BRUAT, je reprogramme mon esprit pour « le rendre disponible à une belle rencontre, inattendue et spontanée, en augmentant le champs des possibles »

Parler d’amour n’est jamais évident. Cet échange me laisse perplexe… Je me rends compte que tous mes stéréotypes sont limitants, et que mon plus grand ennemi pour trouver l’amour est moi-même. 

Je repense à mes 15 dernières années, à mes 5 compagnons que j’ai sincèrement aimés, dont 2 ont fait le choix de s’ôter la vie, car en dépressions graves.

Valérie touchée par mon douloureux passé et désarroi sentimental, me dira : « Estelle, le point commun entre ces 5 hommes est la dépression. Le problème, ce n’était pas toi. Bien au contraire.  Ils avaient tous un mal être profond en eux. Ils ont senti que tu étais une femme plus forte que tu ne l’imaginais. Sauf que l’amour, ce n’est pas être un médicament, ni jouer les infirmières ou les psy. L’amour c’est se porter vers le haut. Être fort ensemble. S’entraider, avoir des projets et non se béquiller ou s’entraîner vers le bas. C’est dévastateur pour le couple ! » 

 

Soudain tout s’éclaire. L’adulte que nous sommes, est la somme des blessures d’enfance, conflits intérieurs dont nous n’avons pas mesuré l’impact, ni fait le deuil. J’écoute avec la plus vive attention celle qui est surnommée « l’artisan de l’amour ».

Les 20 ans d’expérience de Valérie BRUAT en tant que créatrice des agences matrimoniales sérieuses, « Entre Elle & Lui » et « Inter-contacts Paris » valent tous les livres de développement personnel amoureux et séances chez le psy !

 

 

5. Le neuro-training : un accompagnement neuro-scientifique pour comprendre le fonctionnement du cerveau humain

Afin de mettre toutes les chances de mon côté, les séances de neuro-training avec Claire furent complétées par celles d’Olivier VEILLARD, Maître Praticien A.N.C (Approche Neurocognitive et Comportementale) formé aux Sciences Cognitives, Comportementales et aux Neurosciences au sein de l’I.N.C à Paris (Institut de Neuroscience Cognitive).

Je découvris alors, en visio, une méthode de coaching amoureux à l’américaine, puisque Olivier exerce aux Etats-Unis, à Miami.

Il m’explique avec une efficacité et simplicité redoutables, comment les cerveaux humains se distinguent en 2 types de fonctionnements, et les effets sur nos choix de vies au quotidien. Vous comprendrez vite quels sont les enjeux de muscler sa mentale grâce aux neurosciences et de développer notre meilleure partie du cerveau !

 

Olivier VEILLARD, Maître Praticien A.N.C, formé aux Sciences Cognitives, Comportementales & aux Neurosciences à l’I.N.C Paris

 

  • Le cerveau mécanique ou reptilien :

Théorie établie dans les années 60’s par le Dr Paul D MAC LEAN.  Le cerveau reptilien serait présent depuis 500 millions d’années chez les espèces animales, il comprend le tronc cérébral et le cervelet. Souvent nommé « cerveau instinctif ou primitif », puisqu’il gère les fonctions vitales de l’organisme (respiration, température corporelle, alimentation, reproduction, fréquence cardiaque). Ce cerveau ancestral et archaïque, responsable de l’instinct de survie, déclenche des réactions comme la fuite, l’agressivité, les pulsions, l’instinct de reproduction en vue de la conservation de l’espèce.

 

Très fiable, ce cerveau a néanmoins tendance à être dans la pulsion et la compulsion. Réfractaire aux expériences, ce cerveau n’a qu’une mémoire à court terme, ne lui permettant pas de s’adapter ou d’évoluer. C’est un cerveau binaire, qui répond par oui ou par non, semblable à un réflexe. En fonction de l’information transmise au cerveau, la prise de décision lui revient, si le cerveau reptilien prend le dessus sur le cerveau limbique et le néo-cortex, l’individu sera plus enclin à developper des attitudes compulsives (superstitions, TOC, besoins obsessionnels de rituels, troubles sociaux, pulsions sexuelles…) Ces personnes vivant sous la dépendance de leur cerveau reptilien sont facilement manipulables comme le savent les marketers. Une fois inscrit dans le schéma répétitif aucune évolution via l’expérience n’est possible… Le cerveau reptilien renvoie à la dualité de la nature humaine, que l’on retrouve dans les philosophies les plus anciennes ou encore chez Freud (schéma triunique) avec le « moi », le « surmoi » et le « ça ».

 

  • Le cerveau adaptatif :

Cette étude du cerveau adaptatif est défini comme étant « l’ensemble des habiletés conceptuelles, comportements sociaux et pratiques apprises par la personne, qui lui permettent de fonctionner au quotidien » (définition de l’AAMR American . Association of Mental Retardation, 2003). C’est ainsi par exemple qu’on évalue les personnes déficientes intellectuellement, en mesurant leur autonomie au quotidien (Echelle de La Vineland II). Cette technique scientifique permet aussi de détecter les enfants atteints de troubles neurodéveloppementaux, comme les TSA et TDAH.

 

Les cerveaux adaptatifs s’adaptent aux exigences et contraintes de leurs environnements, de la vie courante, pour atteindre un objectif particulier ou pour vivre en s’adaptant aux contextes qu’il rencontre. Les habilités adaptatives, se distinguent dans la communication, l’utilisation de ressources, les habiletés sociales, les compétences dites « domestiques », les soins personnels, l’autonomie, la santé, la sécurité, les aptitudes fonctionnelles, les loisirs et le travail. 

Olivier, me confirme ensuite ce que j’avais appris pendant le training amoureux de Claire S. : « que les mythes, les fausses croyances et pensées limitantes nous empêchent de nous remettre en question, dans notre vision du couple, de la relation à l’autre et la gestion des sentiments. »

En 4 points, Olivier me donne des conseils pour sortir des rapports de force dominant/dominé et relations d’intérêts.  L’objectif de l’accompagnement Neuro-Coeur est d’apprendre à nouer de vraies rencontres amoureuses sérieuses et durables :

  • Réapprendre la séduction
  • Guérir des blessures du passé
  • Retrouver ma confiance en moi
  • Éviter de focaliser sur les problèmes, car cette attitude à tendance à les amplifier

Je lui confie alors, que chaque matin, depuis que Claire me l’a préconisé, soit 1 mois, je récite tel un mantra, la phrase suivante : « Je prépare mon cerveau à vivre le meilleur et ce qui me correspond le mieux ! »

 

 

6. Les atouts de la Méthode Neuro-Coeur 

Grâce au coaching amoureux de Claire et Olivier, qui sont présents au quotidien pour m’assister et me transmettre avec une absolue bienveillance et écoute, une vision plus saine de l’amour, j’ai enfin acquis des outils et astuces pour comprendre les relations amoureuses. Penser le couple de façon consciente et équilibrée, pour avancer main dans la main !

En outre, j’ai appris à me définir par rapport à moi-même et non par rapport aux autres (ami.e.s, parents, collègues, employeurs, anciens petits-amis…). A ne plus avoir peur de l’engagement, à mieux appréhender ma neuro-atypie (HPI & Hypersensible) et me libérer du Deus Ex Machina.

 

 

A la fin du coaching amoureux et des exercices pratiques, Olivier saluera ma résilience, pour avoir eu le courage de préférer rester célibataire pendant toute la durée de la pandémie, plutôt que d’être mal accompagnée ou de me mettre en couple pour les mauvaises raisons. A l’instar de Claire, Olivier me rappellera que  « lorsqu’on est hypersensible, on tombe plus souvent amoureux ! Aussi il est important d’en avoir conscience pour ne pas se mettre en couple avec n’importe qui. » 

De plus, la crise sanitaire a été le théâtre de nombreuses incohérences et mesures liberticides qui ont forcément impacté la vie de couple, la vision et les motivations des individus. Donc fréquenter un abruti servile obnubilé par ses gestes barrières, 3 doses, masques et consorts, n’aurait pas été ma tasse de thé 😉

 

Les Amoureux de Paris de Marc PARMENTIER

 

Blague à part, cet accompagnement Neuro-Coeur a créé une réelle impulsion pour revenir vers des logiques plus saines. Comme apprendre à embrasser ma personnalité atypique, tout en communiquant avec l’autre sur mon hypersensibilité, sans être négative. Apprendre à m’ouvrir à l’autre sur mon fonctionnement neurocognitif, lui expliquer ce que je ressens, sera un grand pas pour moi.

Enfin, maîtrisant mieux mon côté zèbre, j’ai mis à profit certains atouts, sensibilités ou « douances », comme mes talents d’écriture, sens du contact humain, gratitude, pour nourrir cette rubrique Le Journal d’Esther. Sous forme de journal intime online, le but est de créer de la valeur humaine et d’interagir avec vous, Cher.es Internautes, qui ressentez peut-être des émotions similaires ou avez traversé des épreuves difficiles. Vous n’êtes pas seul.e.s 😉

 

La Méthode Neuro-Coeur arrive pratiquement à sa fin, après ces 4 mois intenses d’introspection et de préparation à la dynamique amoureuse, je me sens prête à rencontrer l’amour et à appliquer tout ce que j’ai appris grâce à Valérie Bruat, Claire et Olivier !

Dans le dernier épisode (que je n’ai pas encore vécu ni écrit) nous découvrirons sur le terrain les résultats de la Méthode Neuro-Coeur…Vais-je enfin retrouver l’amour avec un grand A grâce aux Experts Neuro-Coeur  ?

 

 

 

******

Cet article évoque le suicide ou la dépression.

Si vous voyez la vie en noir ou avez des idées suicidaires, c’est un signal d’alarme que vous devez prendre au sérieux. Ne restez pas seul : des associations proposent un soutien bienveillant aux personnes déprimées ou confrontées à des idées de suicide, avec des services d’écoute anonymes et gratuits. La permanence téléphonique de SOS Amitié est accessible 24 heures sur 24 au 09 72 39 40 50. Le Fil Santé Jeune propose aussi au 0800 235 236 un service pour les 12-25 ans sur les thèmes de la santé, de la sexualité, de l’amour , du mal-être. Cliquez-ici pour davantage de ressources et contacts (site du Ministère de la Santé et des Solidarités) 

https://solidarites-sante.gouv.fr 

Post a Comment

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

error: Content is protected !!